Le groupe nucléaire a confirmé mercredi avoir enregistré une perte record de 4,8 milliards d'euros pour 2014.
Il va devoir lancer un plan d'économies de 1 milliard d'euros à l'horizon 2017 qui n'exclut pas des suppressions de postes (Challenges.fr du 04/03).
Si l'une des solutions pour sortir de ses difficultés financières pourrait passer par une augmentation de capital, celle-ci n'est pas à l'ordre du jour, a assuré le ministre de l'Economie Emmanuel Macron (LaTribune.fr du 26/02). Mais le salut du groupe pourrait surtout venir d'EDF, nous apprennent LesEchos.fr : « Emmanuel Macron mercredi matin, puis Manuel Valls à l'Assemblée l'après-midi [suivi du président Hollande dans la soirée] ont plaidé pour une coopération renforcée entre les deux groupes, pouvant aller jusqu'à un "rapprochement capitalistique". Et tant pis si le PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy, écartait cette hypothèse il y a à peine trois semaines : le sauvetage de la filière nucléaire française est désormais une priorité nationale ».
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