« La Chine, premier contrefacteur de produits électroniques », dénonçaient LesEchos.fr le 31 mars : « phénomène croissant dans le monde, le commerce des biens contrefaits ou piratés touche très fortement les secteurs des produits high tech. A un point que beaucoup n'imaginaient sans doute pas. Un téléphone mobile sur cinq et une console de jeux vidéo sur quatre qui traversent les frontières sont des faux, révèle ainsi une étude de l'OCDE ».
Depuis le second semestre 2016, les prix de mémoires Dram et flash sont en forte hausse. Et d’après IC Insights, le mouvement devrait s’amplifier en 2017. De quoi semer la panique chez les équipementiers électroniques, mais faire le bonheur de Samsung, SK Hynix, Micron, Intel, Western Digital et Toshiba qui se partagent le gros du gâteau (UsineNouvelle.com du 31/03). Apple, Amazon et Google ont d’ailleurs soumis une offre à Toshiba pour sa filiale de puces mémoire, selon le journal japonais Yomiuri Shimbun (Challenges.fr du 01/04).
Samsung n’a plus le droit à l'erreur : le fabricant sud-coréen a présenté le 29 mars le Galaxy S8, son nouveau smartphone haut de gamme. Son précédent lancement, le Galaxy Note 7, s'était soldé par un fiasco en raison de batteries défectueuses (LesEchos.fr du 29/03).
« Etude : alerte sur l’impact de la robotisation », titraient Les Echos jeudi dernier. Aux Etats-Unis, l’introduction d’un robot pour 1 000 salariés détruit entre 5 et 6 emplois, selon une étude de chercheurs du MIT et de la Boston University.
Le géant américain Apple a rompu toute relation commerciale avec son sous-traitant, le fabricant britannique de semi-conducteurs Imagination Technologies. Conséquence : ce dernier a vu, lundi, son cours de Bourse s’effondrer de plus de 60% (Les Echos du 04/04).
Porté par le boom de ses mobiles et de ses équipements de datacenters, l’équipementier chinois du numérique Huawei a boosté son chiffre d’affaires de 32% (UsineNouvelle.com du 03/04).
[widgetkit id="13"]